Young Soo, il y a de ça quelques années, personne n'y prêtait attention. Un garçon sans histoire, sans réel aventures durant son enfance, un garçon comme on en trouve beaucoup. Fils unique d'un père cadre dans une entreprise nationale et une mère vendeuse dans un magasin de vêtements de sports, on pouvait qualifier sa vie de "modeste". Il était le fils que tout le monde rêvait d'avoir dans la famille, d'ailleurs, il était très proche de ses oncles, tantes et grand parents. Pouvait... C'est bel et bien le mot à mettre au passé.

En janvier 2007, la nouvelle tombe : Park Man Shik, homme d'affaire respecté de 56 ans décède dans un accident de voiture, emportant avec lui son ex-femme et sa petite fille âgée de six ans. Les journaux racontent qu'ils se disputaient tous les deux sur la route avant que le véhicule ne percute un poids lourd.

Young Soo fût dévasté. S'il y avait bel et bien un homme dont il était plus proche que son propre père, c'était bel et bien le frère de celui-ci : son oncle. Un oncle qui lui donna le goût des affaires, un homme brillant qui était parvenu à monter haut en développant un nouveau concept, un produit qui lui avait permis de récolter des millions.

L'oncle de Young Soo est un homme humble, mais assez stupide pour faire confiance aux mauvaises personnes. Marié a une femme avide d'argent, il ne supporte pas longtemps ce sentiment d'échec lorsqu'il découvre non seulement qu'elle le trompe, mettant en cause la paternité avec sa petite fille "Park Rin Rin" mais aussi que beaucoup de personnes dans son entourage ne s'y intéresses que pour son argent qu'il avait si durement gagné. Young Soo, à cette époque, est absorbé par ses études et ne comprend que bien trop tard la détresse dans laquelle se trouvait l'homme qu'il considère comme un deuxième père.

Même si Park Man Shik divorce et même s'il considère sa fille comme sa plus grande réussite malgré tout, l'homme ne parvient pas à remonter la pente et n'accepte pas cette situation. Suicide, hasard, fruit du destin ? Le décès de Park Man Shik reste encore un grand mystère pour le jeune coréen.

Mais cela aurait pu s'arrêter là, si seulement son oncle n'avait pas tout cédé à Young Soo. Dans son testament, il déclare céder tout à "Park Young Soo, le fils que je n'ai jamais eu" pour la simple et bonne raison que léguer à sa fille c'est léguer à cette femme qui liquiderait la totalité des millions de son compte, sans rien laisser pour la fillette. Young Soo hérite à 19 ans d'une petite fortune et devint l'actionnaire majoritaire de l'entreprise de son oncle. Mais de là, les médias s'emportent et déforment tous les propos et la vérité elle-même.

• Park Young Soo, seul dans la douleur et fils héritier de la filière Park Industry hérite de la fortune de son père, Park Man Shik.
  
• Park Young Soo, continuera ses études en commerce international avant de reprendre l'entreprise familiale.
  
• Park Young Soo cède le droit d'administration de Park Industry au bras droit de feu son père, Kim Jang Oh tout en restant actionnaire majoritaire le temps des études.
  
• La fortune de Park Young Soo s'élèverait à 900 millions de KRW ?!
  

KYS attire les femmes c'est certains, et pas que pour une question d'argent. C'est un bel homme, non seulement pour sa morphologie et ses traits fins, mais aussi car il a toujours eu un don pour être élégant dans tout ce qu'il porte, même le pire des jogging. 1m86 pour 62kg, même s'il mange énormément il ne grossi pas. Cheveux bruns, yeux marron, KYS n'échappe pas à la règle des stéréotypes.

Prénom/Pseudo : L to the I to the A and N - KKAPLIAN
Âge : 21 années lumière.
Sexe : Ça dépend des jours.
Localisation : Somewhere over the Rainbow.
Possibilité de connexion: 7/7
Un DC ? Probablement
PV ? Seulement dans ta tête.
Nb de ligne en RP : Ça dépend ça dépasse toujours.
Comment connaissez-vous le fow ? Bonne question.
Un dernier mot ? Mais, vous savez, moi je ne crois pas qu'il y ait de bonne ou de mauvaise situation. Moi, si je devais résumer ma vie aujourd'hui avec vous, je dirais que c'est d'abord des rencontres, des gens qui m'ont tendu la main, peut-être à un moment où je ne pouvais pas, où j'étais seul chez moi. Et c'est assez curieux de se dire que les hasards, les rencontres forgent une destinée... Parce que quand on a le goût de la chose, quand on a le goût de la chose bien faite, le beau geste, parfois on ne trouve pas l'interlocuteur en face, je dirais, le miroir qui vous aide à avancer. Alors ce n'est pas mon cas, comme je le disais là, puisque moi au contraire, j'ai pu ; et je dis merci à la vie, je lui dis merci, je chante la vie, je danse la vie... Je ne suis qu'amour ! Et finalement, quand beaucoup de gens aujourd'hui me disent "Mais comment fais-tu pour avoir cette humanité ?", eh ben je leur réponds très simplement, je leur dis que c'est ce goût de l'amour, ce goût donc qui m'a poussé aujourd'hui à entreprendre une construction mécanique, mais demain, qui sait, peut-être seulement à me mettre au service de la communauté, à faire le don, le don de soi...